Le grenelle de l’environnement (et les contraintes du réchauffement climatique), impose des travaux d’économies d’énergie. Le professionnel qu’il soit chauffagiste, climaticien, spécialisé en ventilation, en énergies renouvelables ou pas doit adapter son (ses) métier (s) aux nouveaux marchés des économies d’énergie pour le neuf comme pour l’ancien.

Les pratiques suivantes sont des atouts : réglages, contrôles et expertises des installations, conseil, diagnostics thermique et énergétique.

En rénovation, le professionnel, dans son propre métier de génie climatique, doit pouvoir maîtriser parfaitement les technologies qu’il installe par la qualité de son installation, de ses réglages (mise en service) et de ses bons choix technologiques parce que cela aura comme conséquence la performance énergétique du bâtiment donc la satisfaction du client et un bon impact sur l’environnement. Le professionnel, identifie les améliorations possibles et calcule les gains d’énergies, les meilleurs financements, et garantir des résultats d’économies d’énergie. Il conseille son client en ce sens.

Par exemple, un chargé d’affaire, s’il doit conseiller son client pour les travaux d’économies d’énergie adaptés à son budget et à ses besoins, doit maîtriser les outils de diagnostics (repérage, identification des déperditions, calcul informatisé, logiciel, appareils modernes de mesures …) et le comptage etc., également les outils financiers (Eco prêt, financements verts, aides, fiscalité etc.). Le compagnon méticuleux installera et réglera une chaudière à condensation et interviendra sur l’équilibrage (avec des appareils adaptés) des radiateurs pour que la condensation soit effective. Le professionnel du génie climatique peut aussi s’associer avec d’autres métiers du bâtiment pour une offre d’amélioration globale, (métiers de l’isolation, menuisiers pour les fenêtres etc.) avec les mêmes objectifs de performance énergétique du bâtiment en travaux.